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neurosciences et prévention

Jusqu’où irons-nous dans l’utilisation des savoirs neurologiques pour rendre nos campagnes de promotion-prévention plus efficaces ?

Sans doute avons-nous encore beaucoup de chemin à faire seulement pour « accoter » les campagnes des promoteurs de substances et dépendances… Le Centre d’analyse stratégique français publiait une étude en mars dernier : Nouvelles approches de la prévention en santé publique – L’apport des sciences comportementales, cognitives et des neurosciences (PDF 156 pages), avec des têtes de chapitre éloquentes :

  • Dans le cerveau du fumeur : neurosciences et prévention du tabagisme (ch. 7)
  • Agir sur les comportements à différents niveaux dans la prévention des maladies chroniques (ch. 2)
  • Les neurosciences du consommateur au service de la prévention ? (ch. 4)…

Les Britanniques aussi y sont allés d’un substantiel rapport, avec MINDSPACE: Influencing behaviour through public policy. Le rapport complet fait 96 pages, et le «guide pratique», 23.

Ces références (et d’autres) tirées de cet article de Hubert Guillaud, L’étude des comportements peut-elle permettre de les changer ? (3/4) : Transformer les politiques publiques.

Paru aujourd’hui sur internetActu.net.


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