What have you learned from dabling in KM? Here is my quick list:
- Knowledge is about relationships & dialog not access to information
- Improved awareness has greater long term value that access
- Tools do not really matter – identity and trust do!
- A shared language bootstraps creativity and collaboration
- KM takes time, 3-5 years!! — tiré de Knowledge at Work
Un mantra à répéter et mettre en pratique… la techno est subordonnée aux échanges, générateurs de confiance mutuelle; à la communauté de language (de pratique ?), qui favorise la créativité; le dialogue et la relation entre les personnes sont plus importants que l’accès à l’information…
De là l’importance de l’engagement des membres du conseil d’administration (et autres personnes influentes) si l’on veut s’appuyer sur ces ressources technologiques pour faire un « bond en avant » dans le développement de notre communauté de pratique.
On ne dira pas que les technologies ne sont pas utiles… sinon je ne sais pas ce que je fais depuis toutes ces heures à fouiller dans le ventre du futur extranet du RQIIAC…
Sur le même registre, Akasig résume le rapport du Cefrio que je n’ai pas encore lu !
Quels sont les principaux facteurs organisationnels de succès ? Pour qu’une communauté connaisse le succès, il faut distinguer deux phases dans son cycle vie : son démarrage et son fonctionnement en régime de croisière. Pour la phase de démarrage, c’est la structure de l’organisation qui est déterminante. Le succès sera probablement au rendez-vous :
- si l’environnement organisationnel n’est pas un frein aux échanges (voire, au contraire, s’il facilite et encourage ces échanges transverses),
- si le sujet d’échanges choisi par la communauté est considéré comme pertinent (comme ayant de la valeur) par ses membres ou par l’organisation dans son ensemble
- et si l’entreprise soutient formellement la communauté.
Ces facteurs structurels sont déterminants pour que la sauce puisse prendre. Ils perdent ensuite leur importance lorsque la communauté entre en régime de croisière. Ce sont alors trois pratiques de gestion de la communauté qui prennent le pas pour assurer le succès de la communauté :
- le travail de l’animateur de la communauté est-il assuré avec dynamisme ?
- la participation à la communauté est-elle reconnue dans l’évaluation individuelle de performance (l’entretien annuel…) ?
- l’implication dans la communauté fait-elle l’objet d’une large communication au sein de l’organisation ?