Du
tricot « haut de gamme »… torsadé, nids d’abeilles…
Après des années d’abstinence, elle s’y est remise, avec plaisir semble-t-il. Et ce sont ses arrières petits-fils qui en profiteront !

depuis 2002
Un généreux filet de mérou, sauce citron-vin blanc, avec ses légumes sautés, précédé d’un potage à l’oignon caramélisé au porto… C’était bien. Rue Laurier, près de Garnier : Un monde sauté.
Puisqu’il n’y a rien de parfait (à ce prix-là, à tout le moins), j’aurais mis un peu moins de « caramel » dans le potage. Mais ce sera une bonne raison de m’essayer à faire mieux : juste un peu de sucre dans les oignons, avec le porto, sinon, ça coupe un peu trop la faim.
Et les légumes : comme j’étais au bar, j’ai pu reluquer le chef qui les faisait sauter une première fois, puis les mettait à la vapeur, pour les refaire sauter une dernière fois… Les courgettes (zucchinis) jaunes et vertes et carottes étaient tendres tout en conservant une fermeté et plein de saveurs… Un délice.
Je crois que j’avais faim !
Ça y est, je suis installé… enfin pas encore tout à fait. Mon environnement intérieur aurait plutôt l’air de cette jolie peinture de Suzanne Duranceau que j’ai légèrement transformée.
Mais l’environnement extérieur, à deux minutes des cafés de la rue Laurier, du Fromentier pour acheter pain, fromages et pâtés… à cinq minutes de la rue Mont-Royal… Oui, j’ai choisi le Plateau, après avoir habité Hochelaga-Maisonneuve durant 25 ans. Ce quartier devenait vraiment trop « in » 😉
On m’apprend que le concours de l’ONF « Faites des courts, pas la guerre » tire à sa fin : vous avez jusqu’à demain pour voter pour le meilleur court métrage. On peut visionner et coter les 4 finalistes : Le ouijascope (Haute vitesse – Basse vitesse), de Ana Ponce; Conte moi la guerre, (H, B), de Raphaël Posadas; Lettre d’un soldat, (H, B), de Patrick Duhamel et Lettre de mon père, (H, B), de A. Neveu-Pépin et A. Hamel.
Allez y jeter un coup d’oeil… et si vous ne savez pas pour qui voter… votez pour le derneir : Lettre de mon père, c’est le petit-fils de Bernard, un grand-père actif dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve depuis… toujours ! Bonne chance aux Alexandres !
Dépêchez-vous, ça se termine DEMAIN !
Parlant de fierté, il y en a un qui a aussi de bonnes raisons de l’être… Avec bientôt 30 000 usagers, un réseau de points d’accès dépassant la centaine… il y a là un potentiel de développement permettant de soutenir quelques audaces. Lâche pas Mike !
Tiens, Google en éditeur de pages web… Une page web sans fil RSS ?!? Qu’a pensé Google ??
Dans une photo qui fait au moins 18″ de haut (cliquer pour voir, il y manque le haut) on voit Marc-Olivier, mon fils, bloquer le lancer de l’adversaire, sur la première page du cahier Sports du grand quotidien canadien, The Globe and Mail.
Malheur !! Ils se sont trompés de nom. J’ai demandé au journal de republier la photo (lundi matin) avec la vignette corrigée 🙂
Je reprend le commentaire expert d’Alexis:
L’UQAM s’est inclinée face aux puissants Ravens de Carleton, triples champions canadiens, 62-59. Les Citadins ont démarré le match en trombe, prenant les devant 11-5. Carleton est revenue dans le match et a commencé à mettre ses trois points, qu’ils ont multiplié (13-31 3pt FG). Ils ont ainsi récolté 62% de leur points de l’extérieur. L’UQAM, pour sa part, est revenue en force à deux reprises, reprenant brièvement les devants 42-41 en deuxième demie. Des problèmes de fautes ont fait mal aux Citadins; Sam Johnson a été limité à 5 pts, tandis que Marco et Kevin ont terminé le match avec la limite légale de 4 fautes. Plusieurs fautes offensives ont coupé le momentum de l’UQAM, qui a de nouveau bénéficiée d’une attaque toute en équilibre (14 pts Claude Delmas, 13 Bruno, 10 Marco, 7 Kevin et 7 Jo, ….). L’expérience des Ravens, qui en sus s’appuient sur le MVP au Canada cette année, Osvaldo Jeanty, a finalement fait la différence dans un match qui a confirmé que l’UQAM serait une équipe que l’on ne pourrait dorénavant plus ignorer.Félicitations aux Citadins, champions du Québec, qui ont su élevé leur jeu d’un cran dans le dernier mois de la saison. Merci pour les émotions fortes et l’exemple de ténacité que vous nous avez servi !
Terminée, la lecture de ce court texte: Community Networking and Public Benefits tiré de la dernière livraison de The journal of community informatics.
Une belle revue critique de ce qu’est le capital social, une communauté… et un article qui évite le discours trop souvent ententdu chez les chantres des nouvelles technologies : plus d’ordis, plus de TICs égale, plus de capital social (ou des communautés plus fortes). Les choses ne sont pas si simples.
De bonnes références (que je vais fouiller) sur la question des indicateurs de développement des communautés… une conclusion claire : il y a parfois des investissements préalables à faire, lorsque les réseaux sociaux sont trop amochés, avant d’investir dans les TICs. Mais encore, la conclusion la plus importante : tout dépend du contexte ! Autrement dit, quelque soit la valeur des indicateurs retenus pour guider les bailleurs de fonds en matière de soutien public, la qualité du lien social (à soutenir et développer) dans les communautés doit être examinée dans son contexte, et non sur une feuille comptable.
Une belle surprise dans une revue d’informatics. D’autres articles (avec des propos sans doute divergents) me semblent d’intérêt dans ce numéro. À NOTER : un prochain numéro portera sur les Community e-Health Initiatives. L’appel de contributions (call for papers) se termine fin avril.
Ce n’est pas la première fois que je « tombe » sur cette revue; dans le volume 1 numéro 2 il y avait aussi des analyses critiques à l’endroit des utopies technolophiles. Je remarque qu’il n’y a pas de fil RSS auquel s’abonner sur le site de la revue ! Non, je ne veux pas d’un autre courriel à trier dans ma boîte à spam… Heureusement, il y a Geoffreoi qui veillait et qui a, lui, un fil RSS !