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Liens vers les sections : Démocratie municipale; Économie sociale, finance communautaire; Santé; Climat, énergie, transport; Culture – éducation – développement social; et à la fin, les derniers articles traduits.
Démocratie municipale
Élections municipales 2025
Vivre en ville propose les 12 travaux de nos collectivités, une plateforme d’engagements concrets destinée aux candidats et candidates municipaux en vue des élections du 2 novembre prochain. Avec sa plateforme Les 12 travaux de nos collectivités, l’organisme propose 12 engagements structurants, adaptables à toute plateforme électorale, pour répondre aux défis pressants de notre époque: crise de l’habitation, étalement urbain, verdissement, mobilité, climat.
Saint-Jérôme – participation
Le ville de Saint-Jérôme adopte sa première Politique de participation publique
« La participation publique est un pilier essentiel d’une démocratie vivante. En adoptant cette politique, nous réaffirmons notre engagement à écouter les voix de la communauté et à travailler ensemble pour coconstruire une ville qui reflète les aspirations des Jérômiens et des Jérômiennes », explique le maire Marc Bourcier.
L’ensemble des politiques de St-Jérôme. La politique de participation publique
Laval
La nouvelle Politique de consultation publique et de participation citoyenne établit les principes et les modalités en matière d’information, de consultation et de participation des Lavalloises et des Lavallois et constitue le fondement de la volonté de la Ville de mettre en place une véritable culture de la participation citoyenne.
Investir dans le pouvoir citoyen
Une première boîte à outils sur le budget participatif
Une feuille de route concrète pour les municipalités québécoises, par le Centre d’écologie urbaine
«Nos villes au front»: plus d’autonomie pour les villes à bout de souffle

Un essai de François William Croteau, Nos villes au front. Repenser la gouvernance locale pour faire face aux crises, article de Jeanne Corriveau, dans Le Devoir.
Économie sociale, finance communautaire
Le SOMMET 2025
Le Sommet de l’économie sociale s’est tenu les 14 et 15 mai 2025 à La Tohu, à Montréal, et rassemblait des participant·es provenant du mouvement de l’économie sociale, du milieu entrepreneurial traditionnel, de la société civile, des sociétés d’État, du municipal, des gouvernements du Québec et du Canada et des Premières Nations.
Le CRISES et le RRESS ont participé non seulement à un panel dédié à la recherche mais aussi dans le travail de préparation au Sommet.

Une des huit illustrations de projets liés aux thèmes du Sommet.
Rendre à la communauté plutôt qu’aux actionnaires
Grande entrevue — Béatrice Alain, directrice générale du Chantier de l’économie sociale. La Presse, 13 mai 2025
« Il est temps de faire le point sur notre rôle », estime Béatrice Alain, directrice générale du Chantier de l’économie sociale, qui organise cette semaine à Montréal le Sommet de l’économie sociale.
Trois ans après le Sommet sur l’économie et l’emploi, le Chantier de l’économie sociale a été officiellement créé en 1999 et on a souligné les 10 ans de l’idéation de l’organisme en réalisant un premier Sommet de l’économie sociale en 2006.
Près de 20 ans, donc, après leur dernière rencontre au sommet, plus de 1200 acteurs du monde des coopératives et des organismes à but non lucratif (ayant une activité marchande) de partout au Québec vont se réunir cette semaine à Montréal durant le Sommet de l’économie sociale pour y discuter des grands enjeux qui animent cette force économique.
Finance durable et obligations communautaires
Je me demandais, dans un billet récent qui présentait le programme du Sommet sur l’économie sociale : Pourquoi il n’y a pas de thème « finance solidaire »? J’ai appris le lendemain que se tenait en même temps que le Sommet économie sociale, un Sommet sur la finance durable ! Sûr que la « finance durable » ce n’est pas la finance solidaire… de même que le « développement durable » ce n’est pas la transition socio-écologique. Mais ça aurait été bien d’avoir un solide volet financier, avec Fondaction et le Fonds de solidarité, au Sommet sur l’économie sociale. Sans doute que la « finance durable » ne visait pas les même clientèles : à 900$ le billet (pour les 3 jours), ou 1500$ incluant le souper-bénéfice… pas sûr que les groupes d’économie sociale aurait été nombreux…
Par ailleurs j’ai soulevé à quelques reprises dans ce carnet la question des obligations communautaires comme une stratégie de financement de projets d’économie sociale, mais aussi comme stratégie de sensibilisation et d’empowerment des communautés. C’est une formule qui devient plus commune. J’ai vu passer, sur le fil de En commun, deux appels à contribuer à de telles obligations:
- Message sur En commun-La radio communautaire de Québec CKIA 88,3 lance sa première campagne d’obligations communautaires en plein chantier d’aménagement social et immobilier de sa Maison de la radio dans le quartier Saint-Roch. Son objectif : 75 000 $.
- Faire la ville autrement : les obligations communautaires comme levier de transformation pour nos quartiers, par l’organisation Brique par brique.
Une radio communautaire faisant appel à son public pour construire une Maison de la radio, je comprends. Par ailleurs, je ne connaissais pas l’existence de Brique par brique. Cela semble une organisation assez jeune, et ça m’a fait réfléchir. J’avais toujours imaginé des organisations bien implantées (genre SHAPEM, ou le groupe ACHAT) dans leur secteur comme celles faisant appel à l’épargne sous forme d’obligations communautaires. Comment fait-on pour évaluer la solidité, les chances de réussite d’un projet d’investissement communautaire ? C’est une question pour un prochain billet !
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