Gilles en vrac… depuis 2002

to twitt or not

Je me suis finalement laissé prendre à twitter, sans trop savoir pourquoi tout d’abord, plutôt pour aller voir ce qui s’y passe (je ne suis pas le seul : I don’t know what it is, but I have a feeling there’s something here). Dans un micro-commentaire de Sylvain Carl, en réplique au très populaire Dave Winer (mais ici, Winer a probablement moins de lecteurs sur Twitter que d’abonnés à son blog !) je trouve cet article de Steve Gillmore : The Realtime Genie. Qui souligne bien les avantages et dangers du développement rapide de Twitter. Au chapitre des dangers : « [b]oth Facebook and Twitter are grappling with rapidly escalating infrastructure costs that push them toward broadcast models and away from harvesting the power of small, agile communities ». Côté positif : l’immédiateté d’interaction. « The realtime feedback loop changes the conversation in important ways, by harnessing a group of minds that can inject themselves immediately and swarm around an idea or a debate and help move it to some hybrid consensus. »

J’ai quand même l’impression que ce médium est particulièrement adapté à la technologie iPhone, où l’on peut assez facilement suivre un lien hypertexte, et répondre en moins de 140 caractères… Il me semble aussi que si j’étais dans le monde des contractuels et consultants, avec une obligation de suivre le dernier cri de la technologie, et d’être en contact constant avec mes clients, fournisseurs et concurrents… ce serait un must ! Demain Atebits lancera Tweetie pour Mac…

Mais quand on travaille dans un réseau public où les règles du support informatique interdisent l’accès à Gmail… je ne suis pas certain que Twitter sera accessible !! Je n’ai pas dit mon dernier mot sur cette interdiction d’accès à mon courriel Gmail, que j’ai pu jusqu’ici contourner par une « faille » (j’avais Firefox d’installé sur mon ordinateur…). Ce n’est pas seulement un courriel « personnel » mais bien toute une série d’outils professionnels qui me sont ainsi accessibles : des fils de nouvelles (Reader), un carnet d’adresse garni depuis des années, des Documents mis en ligne et accessibles de partout, un Agenda beaucoup plus pratique que celui de Notes, sans compter l’utilisation des groupes de discussion


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Commentaires

3 réponses à “to twitt or not”

  1. georges

    Ah non, pas toi aussi! Quelle horreur! 🙂

    En effet le format de 140 caractères, bien que contraignant, offre des avantages intéressants et motive les gens à être concis. Dans twitter, je serais déjà forcé de reviser ce commentaire trop verbeux, lourd de mots, vide de sens.

    Un californien vivant à Montréal à créé un logiciel libre de micro-blogue, dont le site principal est http://identi.ca. L’idée des intéressante: le logiciel est ouvert et permet de fédérer plusieurs sites qui suivent ce standard (donc tu peux échanger des messages avec un membre d’un autre serveur.)

  2. Gilles

    Oui, je connais identi.ca, c’est d’ailleurs les discussions entourant ce service qui m’ont amenées vers Twitter… J’ai adopté Twitter pour profiter des utilitaires qui étaient liés à la formule. Et toi, ton fil Twitter où est-il ?

  3. georges

    Comment traduire follower? Disciple, ami, adepte? Enfin, peu importe, tu as un suiveur de plus. Je vais essayer twitter, mais l’impression que ça va être un déluge de petits messages sans queue ni tête.

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