la dynamo à plein régime

dynamo.pngÀ partir d’une idée, qui semblait un peu folle l’été dernier, la réalité s’impose peu à peu : ça se fera, et bien ! Le « club d’été » de basketball, réunissant amis de différents campus, avec le soutien d’un oncle qui s’est pris d’affection pour le groupe, de passion pour le jeu… ils seront une quinzaine sur les routes de France pour une quinzaine de jours à la fin mai, pour se mesurer aux joueurs semi-professionnels de là-bas. Avec l’aide d’un ami périgourdin et d’autres contacts du « merveilleux monde du sport » les match amicaux s’organisent. Voir article du journal de l’UQAM.

Et en plus, le principe d’une intervention sociale des jeunes athlètes, dans les quartiers populaires, les écoles secondaires, prend forme et donne corps à cette OBNL. Un blogue, pour suivre les péripéties et activités de Dynamobasket !

Chapeau les gars ! Et pour les encourager (et voir une partie qui devrait être de haut calibre), venez au Cegep Édouard-Montpetit samedi prochain, le 6, à 19h. 260 de Gentilly Est, Collège Édouard-Montpetit. Entrée : 5$

du vin et d'autres plaisirs

mondovino2.jpgMondovino, le documentaire de Jonathan Nossiter, diffusé cette semaine au Documentary chanel, fait un portrait réaliste et parfois choquant des producteurs, négociants et critiques du monde du vin, bouleversé de plus en plus par les entreprises mondiales… La quantité ou la qualité ? En tant que documentaire, la caméra de poing en très gros plan, les éclairages naturels ou d’entrepôts et de caves, sur des teints vinifiés… tout ça n’était pas toujours beau à voir, mais les propos (ou les silences) toujours éclairants.

Pris, littéralement, par le Stabat Mater de Bruno Coulais, diffusé par Espace Musique, à minuit hier soir. Douleur d’une mère au pied de la croix, douleur tout court. Interprétation contemporaine d’un texte du XIIIe siècle…

C’est ainsi que j’ai pu terminer en beauté le livre de Thierry Hentsch Raconter et mourir. Il ne méritait pas moins ! C’est un recueil d’introduction aux grands textes : de l’Odyssée au Discours sur la méthode de Descartes, en passant par la Divine Comédie de Dante, Hamlet de Shakespeare, Don Quichotte de Cervantes, Pantagruel de Rabelais… Tout un banquet ! Merci à Catherine, qui m’aura aiguillé vers cet auteur. Il me tarde maintenant de poursuivre cette randonnée aux sources de l’imaginaire occidental avec Le temps aboli.

miracle des médicaments contre l'arthrite

Du tricot.jpg tricot « haut de gamme »… torsadé, nids d’abeilles…

Après des années d’abstinence, elle s’y est remise, avec plaisir semble-t-il. Et ce sont ses arrières petits-fils qui en profiteront !

sauté, s.v.p.

Un généreux filet de mérou, sauce citron-vin blanc, avec ses légumes sautés, précédé d’un potage à l’oignon caramélisé au porto… C’était bien. Rue Laurier, près de Garnier : Un monde sauté.

Puisqu’il n’y a rien de parfait (à ce prix-là, à tout le moins), j’aurais mis un peu moins de « caramel » dans le potage. Mais ce sera une bonne raison de m’essayer à faire mieux : juste un peu de sucre dans les oignons, avec le porto, sinon, ça coupe un peu trop la faim.

Et les légumes : comme j’étais au bar, j’ai pu reluquer le chef qui les faisait sauter une première fois, puis les mettait à la vapeur, pour les refaire sauter une dernière fois… Les courgettes (zucchinis) jaunes et vertes et carottes étaient tendres tout en conservant une fermeté et plein de saveurs… Un délice.

Je crois que j’avais faim !

nouveaux horizons

de la lecture en masse... Ça y est, je suis installé… enfin pas encore tout à fait. Mon environnement intérieur aurait plutôt l’air de cette jolie peinture de Suzanne Duranceau que j’ai légèrement transformée.

Mais l’environnement extérieur, à deux minutes des cafés de la rue Laurier, du Fromentier pour acheter pain, fromages et pâtés… à cinq minutes de la rue Mont-Royal… Oui, j’ai choisi le Plateau, après avoir habité Hochelaga-Maisonneuve durant 25 ans. Ce quartier devenait vraiment trop « in » 😉

59-62, l'UQAM s'incline honorablement devant les Ravens

Je reprend le commentaire expert d’Alexis:

L’UQAM s’est inclinée face aux puissants Ravens de Carleton, triples champions canadiens, 62-59. Les Citadins ont démarré le match en trombe, prenant les devant 11-5. Carleton est revenue dans le match et a commencé à mettre ses trois points, qu’ils ont multiplié (13-31 3pt FG). Ils ont ainsi récolté 62% de leur points de l’extérieur. L’UQAM, pour sa part, est revenue en force à deux reprises, reprenant brièvement les devants 42-41 en deuxième demie. Des problèmes de fautes ont fait mal aux Citadins; Sam Johnson a été limité à 5 pts, tandis que Marco et Kevin ont terminé le match avec la limite légale de 4 fautes. Plusieurs fautes offensives ont coupé le momentum de l’UQAM, qui a de nouveau bénéficiée d’une attaque toute en équilibre (14 pts Claude Delmas, 13 Bruno, 10 Marco, 7 Kevin et 7 Jo, ….). L’expérience des Ravens, qui en sus s’appuient sur le MVP au Canada cette année, Osvaldo Jeanty, a finalement fait la différence dans un match qui a confirmé que l’UQAM serait une équipe que l’on ne pourrait dorénavant plus ignorer.
Félicitations aux Citadins, champions du Québec, qui ont su élevé leur jeu d’un cran dans le dernier mois de la saison. Merci pour les émotions fortes et l’exemple de ténacité que vous nous avez servi !
En effet, encore bravo et Merci ! On peut voir le détail du match qui se jouait cet après-midi ici, et suivre les péripéties des matchs des « demi-finales de consolation » par là. On peut voir dans le compte-rendu détaillé (play-by-play) que Marc-Olivier a lancé son équipe dès le début avec deux paniers… J’aurais voulu voir ça !

ce n'est pas un blackberry, mais…

En 140 caractères, vous pouvez m’envoyer un message texte à partir de cette page, ou encore à partir de votre logiciel de courriel habituel à l’adresse suivante: 5149150529@txt.mobilite.ca

N’oubliez pas la limite de 140 caractère… Utile, pour un message court, genre : je serai en retard… ou encore… « n’oublies pas, la rencontre cet aprèm ! »

En trois ans seulement, devenus champions !

l'équipe gagnanteQuel match ! Gagné en prolongation par une équipe des Citadins de l’UQAM qui n’aura pas fléchi devant la pression des Rouges et Or appuyés d’un public de Québec très partisan.

Bravo à la coach, Olga Hrycak. Qui aura conduit cette jeune équipe à la victoire… Bravo à tous, mais un petit, un grand bravo spécial à Marc-Olivier Beauchamp, le « valeureux L'équipe gagnantecapitaine » (dixit Serge Vleminckx, dans le Journal de Montréal d’hier). Je ne veux m’attribuer aucun mérite dans cette réussite spectaculaire, n’ayant pas été un père très souvent présent au gymnase au cours de ces années de difficile labeur… Mon frère Guy, et surtout sa mère, Céline, auront encouragé le travail de Marc et de cette équipe de jeunes athlètes par leur présence assidue.

Cette victoire permet donc aux Citadins d’aller représenter le Québec à Halifax dès jeudi prochain.

Marc-Oliver découpant le filet !On voit ici Marc en train de découper un petit bout du filet, en souvenir. Un geste posé traditionnellement  par chacun des membres de l’équipe gagnante.

Bravo, merci et bonne chance !

reconnaissance vocale ou écriture orale ?

Après avoir réinstallé les logiciels sur l’ordinateur de remplacement (suite au vol), poiur certains d’entre eux, la remise en marche exige quelqu’entrainement.

Je termine une assez longue période de lecture au micro, racontant les aventures de ce Phileas Fogg, héros de Jules Verne. Le taux de reconnaissance correcte devrait s’être sensiblement amélioré. Le contraire serait vraiment décevant considérant l’effort déployé à lire les extraits de ce fameux « tour du monde en 80 jours ».

Mais pourquoi tant d’efforts justement ? Est-ce seulement pour éviter d’avoir à prendre le clavier pour transmettre ma pensée sur l’écran ? Ou s’il n’y a pas quelque chose de plus, dans le fait de n’avoir pas à utiliser cet intermédiaire que sont les mains pour exprimer la pensée. Ou encore on pourrait dire autrement et souligner le fait que d’exprimer sa pensée par la parole préserve quelque chose de l’émotion, quelque chose qui se perd lorsqu’on utilise un clavier. En fait, alors que je vous dis cela, je le dit aussi avec mes mains, mais en les projetant dans l’air devant moi plutôt que sur la table, sur les touches.

(…) Mais pourquoi cela me semble-t-il si attrayant de parler dans ce micro et de voir s’allonger les phrases ? (…) J’éprouve un véritable plaisir, thérapeutique, à m’exprimer ainsi verbalement. Naturellement le plaisir n’est peut-être pas partagé par vous tous aussi vous dirai-je n’hésitez pas, laissez-moi choir, cela ne me dérangera pas ! Je continuerai certainement de noter pensées et idées au fil de l’eau, ou plutôt « au fil de l’air » serait-il plus juste de dire, un peu comme on fait de la peinture, par petites touches, en prenant de temps en temps une pause et quelques distances devant son oeuvre, avant d’y revenir pour de nouvelles touches.

Comme si le médium oral avait une influence sur le contenu du dire.