Le MSSS et l’INSPQ lançaient le 31 août dernier un appel de projets visant à lutter contre les îlots de chaleur urbains.
Un budget de 6,5M$ pour des projets de 500K$ minimum, admissibles à une subvention à hauteur de 50%. En plus d’avoir fait une revue de littérature sur les interventions possibles et pertinentes dans le domaine, un outil cartographique est mis à disposition pour identifier les ilots de chaleur urbains au Québec, mais aussi un outil permettant de cartographier les variations de l’indice de défavorisation (variation provinciale), la densité de la population (ces deux données tirées du recensement de 2006) et l’emplacement des piscines publiques.
Cool !
L’image ci-haut est celle des îlots de chaleur dans la ville de Sherbrooke. Ci-contre, c’est la région de Montréal.
Correction 2021 : l’outil cartographique n’est plus accessible, il faut être reconnu par l’extranet du ministère de la sécurité publique pour y avoir, peut-être, accès.
Correction 2013 : la carte semble avoir été corrigée, depuis : Terrebonne et Repentigny semblent redevenus à un niveau normal…
<Ajout – 7 octobre > Un commentaire (par courriel) de la part de Christian Paquin, CSSS de la Montagne :
Bonne observation pour Terrebonne et Repentigny.
Je viens de trouver ce document qui vient contredire un peu beaucoup la carte de l’INSPQ. Il faudrait voir les différentes méthodes. Si vous allez à http://www.cmm.qc.ca/biotopes/ et cliquez sur Études et après sur Annexe volet 2 à Annexe 2 II.III Autres secteurs cartographiés de la CMM et finalement sur Repentigny on constate que Repentigny n’a pas beaucoup d’îlots de chaleurs !!!
En fait : http://www.cmm.qc.ca/biotopes/docs/volets2_annexes/volet2_47.pdf
À suivre.
</Ajout >
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