Gilles en vrac… depuis 2002

Étiquette : finance

  • fossé générationnel à combler

    fossé générationnel à combler

    Même l’éditorial du Globe and Mail s’en mêle : si on veut combler les besoins identifiés par la SCHL (5,8 millions de nouveaux logements au Canada d’ici 2030), il faudra construire trois fois plus de logements par an qu’il s’en est construit durant les années 2010. Et cela chaque année d’ici 2030. L’éditorial souligne que…

  • offre de logement et demande d’habitat

    offre de logement et demande d’habitat

    Deux sources provenant de la même organisation m’ont donné accès à deux documents qui ont suscité mon intérêt. Un article (High Rises and Housing Stress) illustrant géographiquement les résultats d’une recherche sur la propriété locative à Montréal (annoncé dans le bulletin, newsletter, du CCRL). Et une série de trois articles, publiés en 2021 mais rediffusée…

  • À l’ombre des tours à fric

    À l’ombre des tours à fric

    Au moment d’écrire le billet précédent, Une place où vivre ou un placement ?, le 30 janvier dernier je n’avais pas encore pris connaissance d’un dossier publié en octobre 2022 par l’organisation Vivre en ville : Portes ouvertes – pour une sortie de crise durable en habitation (PO). Une synthèse impressionnante de 64 pages (pdf), complétée d’une annexe proposant 87 solutions pour l’abordabilité durable (PO-A)…

  • une place où vivre ou un placement ?

    une place où vivre ou un placement ?

    Note: cet article est le premier de deux. Le second est par ici. Si l’acquisition d’une propriété s’est imposée après la Seconde Guerre mondiale comme un placement judicieux pour préparer ses vieux jours, elle est plutôt vue, depuis plusieurs années, comme un investissement dont on attend de généreux retours à plus ou moins brèves échéances.…

  • placements à impact social

    Des placements à impact peuvent-ils être « prudents » ? Réflexion libre et ancrée. Publication du CRISES et événements en février.

  • convergence et bifurcation

    J’ai terminé, deux fois plutôt qu’une, la lecture de La grande bifurcation qui porte en sous-titre En finir avec le néolibéralisme. Rien de moins, en 188 petites pages ! Extraits de la présentation par l’éditeur : [U]ne enquête sur la dynamique historique du capitalisme depuis un siècle. (…) [U]ne structure de classes non pas bipolaire…